Eve: Mon roman pornographique

Lundi 4 juin 1 04 /06 /Juin 23:27

 

29/06/19…

Je suis en vacances. Je me sens toute émoustillée : surprise au courrier ce matin, Eva m'envoie de ses nouvelles :

" Je suis majeure depuis le 22 juin. Je me sens libre de mes choix, je fais celui de te rejoindre si tu veux encore de moi.

Je te donne le temps que tu veux pour me faire découvrir d autres plaisirs. Ci-joint mon numéro de téléphone, il te suffira de dire oui ou non, je comprendrai."

EVA.

Elle est devant moi. Ses traits ont à peine mûri, elle a pris du poids, ses seins semblent plus ronds.

Elle me raconte les deux dernières années : elle est aussi inexpérimentée qu'il y a deux ans. Sa seule relation avec un garçon l'a "refroidie ".

Elle se tient à l'écart des hommes depuis : le garçon rencontré deux étés plus tôt était expérimenté et il a su la faire parler.

Elle lui a raconté notre relation.

Ensuite, sous la menace de tout raconter à ses grands-parents, il l'a utilisée à des fins lucratives.

Toute une bande de garçons de 15 à 17 ans ont abusé de sa bouche pendant une semaine. Ils donnaient ce qu'ils pouvaient, elle ne valait pas grand chose : c'était une lesbienne. Ceux qui n'avaient plus d'argent pouvaient se branler en regardant la scène et éjaculer sur elle. Son pucelage

a été préservé,mais elle est restée marquée et a acquis une méfiance, vis à vis des hommes, dont elle ne réussit pas à se débarrasser.

Son désir de découvrir le plaisir avec l'un d'eux n'a pas disparu, elle a seulement peur de "mal tomber ". Par moments, ce désir est tellement envahissant qu'elle ne peut s'empêcher de fantasmer : elle a trouvé le "bon " et lui est complètement soumise.

Elle m'excite. Il y a deux ans, l'idée de l'" éduquer " me faisait jouir. Aujourd'hui, elle se livre totalement à moi et me laisse espérer des moments inoubliables. Je connais le "bon " ! Il n'est pas loin, juste à coté. Je n'ai qu'un mot à dire et il sera là. Il est impatient de connaître Eva. Il lui est arrivé plusieurs fois de l'imaginer jouir dans mes bras…

Il est assis avec nous. Je viens de présenter Arnaud à Eva. Elle est impressionnée, il lui fait le coup du regard : il ne la lâche pas des yeux. Je suis sure qu'elle sent le désir monter en elle. Il est irrésistible ! Il est grand, musclé, il est beau, elle sait qu'elle peut lui faire confiance.

Arnaud me lance un regard complice. Je sais ce qu'il veut : je demande donc à Eva de se lever et d'aller nous chercher une boisson au frais. Elle est mal à l'aise, elle sait qu'Arnaud va la détailler et appuyer son regard sur ses fesses. Je profite de ce moment pour raconter à Arnaud le fantasme d'Eva. Et demande à Eva de lui confirmer sa promesse de soumission à celui en qui elle aura confiance. Ce qu'elle fait, gênée. Je lui demande de me faire confiance et de se soumettre à mes désirs. Elle réfléchit, regarde Arnaud, me regarde et accepte.

Je teste sa soumission l'instant d'après. Je lui demande de venir entre Arnaud et moi puis de se pencher pour m'embrasser. De cette façon, elle tourne le dos à Arnaud. Pendant qu'elle m'embrasse, je lui caresse les fesses : j'ai soulevé sa jupe ample et Arnaud est aux premières loges. Le cul d'Eva est tout prés de son visage. Il voit les deux grosses fesses s'écarter puis se rapprocher, il voit mon doigt effleurer la chatte encore vierge. J'arrête là le test, si Eva ne se rebelle pas, c'est qu'elle accepte les règles du jeu.

Elle nous sert une boisson et retourne s'asseoir.

Elle est soumise !

Je me lève et me dirige vers Arnaud. Je défais son pantalon et exhibe son membre en érection. Eva me regarde le sucer avec plaisir. Elle s'approche, elle attend mes ordres. Je lui ordonne donc de goûter la queue de mon homme.

Elle s'exécute. Elle pose sa bouche sur le sexe et suce délicatement juste au bout. Je l'aide à tout prendre en appuyant sur sa tête.

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Arnaud n'en peut plus, il va jouir. Je prends le relais d'Eva pour qu'il jouisse dans ma bouche. J'avale tout puis Eva vient le nettoyer avec sa langue.

L'heure du souper est vite arrivée. Il fait chaud, nous nous installons dehors. L'ambiance est décontractée, je n'éprouve pas la soumission d'Eva avant la fin du repas. Il fait nuit, nous avons fumé mais n'avons pris qu'un peu de vin. J'observe Eva. Elle boit les paroles d'Arnaud. Elle est sous le charme. Ce sera lui ! Mais pas ce soir. Laissons le désir monter en elle, je veux qu'elle le supplie !

Je me lève, pousse ce qui encombre la table, oblige Eva à s'allonger dessus, les fesses au bord, sur le dos. Elle s'attend à ce que je la livre au mâle, tout de suite. Elle s'exécute, semble impatiente. Je la ferai jouir avec ma bouche cette fois encore. Arnaud nous observe, il attend lui aussi. Je sens qu'elle ne va pas tarder à jouir, elle regarde Arnaud, il se caresse, elle a envie de lui, mais elle n'ose pas le dire. J'arrête de la lécher le temps de proposer à Arnaud de me prendre devant elle. Elle se redresse pour mieux voir mon homme en action. Je reprends mes caresses pendant qu'il me lime un peu brutalement, comme pour me punir de l'avoir laissé espérer un dépucelage pour ce soir. J'ai du mal à rester concentrée sur Eva, cette rudesse me plaît . Arnaud décharge en moi quand Eva crie son plaisir. Les coups de reins m'amènent à l'orgasme et je m'écroule sur Eva qui savoure ces instants de plaisir.

... J'accompagne Eva dans sa chambre. Je la déshabille, la laisse s'allonger puis l'embrasse . Avant de la quitter, je lui annonce qu'elle appartiendra à Arnaud demain.

a suivre......

 

Par eve - Publié dans : Eve: Mon roman pornographique
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Jeudi 7 juin 4 07 /06 /Juin 23:15

 

 

Le lendemain, 9 h.

Je réveille Eva avec un léchage de clitoris pour la mettre en condition. J'arrête cette caresse avant qu'elle ne jouisse. Arnaud dort encore, Eva me suit dans la chambre. Il est nu sur le lit, il bande en dormant. Elle regarde ce sexe qui va la dépuceler aujourd'hui. Je lui caresse la chatte alors qu'elle détaille le corps viril. Elle est excitée.

Nous le laissons dormir et allons prendre le petit déjeuner. Pendant sa douche, je lui passe un gant de crin sur tout le corps. Ensuite, je l'épile complètement. Je n'oublie pas de la caresser plusieurs fois sans aller jusqu'à l'orgasme. Outrageusement maquillée, ongles vernis, un corset trop serré et une paire de bas et la voilà provocante à souhait. Elle me demande, la voix troublée par la peur et le désir confondus :

" C'est pour maintenant ? "

Je ne lui réponds pas et la présente à Arnaud dans cette tenue. Devant lui, je la caresse et lui propose de la goûter. Pour cela, j'oblige Eva à se pencher jusqu'à tenir ses chevilles, les jambes écartées. Il est assis et le cul d'Eva est juste à la bonne hauteur. Pendant qu'il la lèche avec délectation, je vais chercher une bougie assez fine que je lubrifie dans la bouche d'Eva. Je la donne à Arnaud qui l'enfonce dans le vagin de la pucelle. Sa langue continue ses caresses et lubrifie la bougie au fur et à mesure de son va et vient. Eva se débat mais je tiens ses poignets sur ses chevilles. La langue d'Arnaud travaille bien, le plaisir gagne la jeune fille, elle ne se débat plus. Arnaud arrête le mouvement de la bougie mais la maintient fichée dans le vagin. Alors je saisis les hanches épaisses et oblige Eva à s'enfoncer un peu plus. Je n'ai pas besoin de la guider longtemps. Le plaisir monte, elle gémit et bouge le bassin de façon à profiter au mieux de ces nouvelles sensations. J'enlève la bougie des mains d'Arnaud, je veux qu'elle le supplie de la déflorer. Il se lève, il l'allonge sur la table, les fesses au bord, les jambes relevées et la caresse avec ses doigts. Elle se tortille de désir, elle le veut c'est évident ! Arnaud met sa queue à l'entrée du vagin tout neuf et ne bouge plus. Je souffle à l'oreille d'Eva :

" Supplie-le de te baiser ! "

Elle résiste, mais le plaisir monte. Elle se frotte contre le membre tendu de désir. Il ne bouge toujours pas mais ne va pas résister longtemps. Elle gémit, se tortille, le regarde l'air suppliant. Il enfonce un peu sa queue puis se retire et recommence. Il ne la quitte pas des yeux. Elle avance son bassin mais a peur d'aller plus loin. Arnaud active sa main sur le clitoris, elle ne tient plus, elle hurle presque :

" Baise moi je t'en supplie ! "

 

 

 

 

 

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Arnaud s'enfonce d'un coup, attend un court instant, et s'active dans le vagin défloré. Eva se laisse de nouveau gagner par le plaisir et semble prête à s'évanouir sous les coups de reins rapides d'Arnaud, incapable de maîtriser la violence de son orgasme. Je ne laisse pas à Eva le temps de se remettre, je m'accroupis au-dessus de son visage pour qu'elle me fasse jouir avec sa bouche. Je bande déjà tellement fort, qu'elle n'a qu'à me téter un peu le clitoris pour provoquer mon orgasme.

 

Les jours suivants, nous avons utilisé Eva à notre convenance. Elle devait se promener nue, lubrifiée en permanence afin d'être pénétrée sans difficulté. Elle nous servait, faisait le ménage et devait se laisser baiser avec soumission. Pendant plusieurs jours, Arnaud l'a utilisée comme un objet, sans marque d'affection. Il la prenait à tout moment, debout quand elle faisait la vaisselle, assise sur lui quand nous étions à table, à quatre pattes dans le potager, elle toute propre, toute douce, lui en tenue de travail, en sueur et les mains pleines de terre. Elle n'avait pas le droit de se laver dans la journée, le sperme coulait de sa chatte sur ses jambes. Le soir elle sentait fort et Arnaud se délectait de son goût d'urine et de foutre mélangés. Ensuite, il m'embrassait goulûment avant de me prendre avec beaucoup de tendresse à laquelle elle n'avait jamais droit. La nuit, nous faisions l'amour tous les trois, avec beaucoup de plaisir. Quelques semaines plus tard, elle se présentait elle même à Arnaud pour qu'il la baise. Elle devait le caresser pour le faire bander, la situation n'était plus aussi excitante qu'au début.

 

.Cela fait quelques jours qu'Eva est distante avec moi. Par contre, elle est aux petits soins pour Arnaud. La situation m'inquiète et me déplaît. Je sens que cette relation n'évolue pas comme je l'avais prévu et je ne sais que faire.

Cette nuit là, je suis réveillée par des cris étouffés et de l'agitation près de moi. J'ouvre les yeux et découvre Arnaud luttant avec Eva qui cherche à lui échapper. Il l'a bâillonnée et veut lui mettre un doigt dans le cul. Elle n'aime pas cela, nous avons essayé une fois de le déflorer elle s'est sentie tellement humiliée qu'elle en a pleuré. Nous avons renoncé à cette pratique à ce moment là.

Il lui attache les bras dans le dos, elle ne peut plus lutter. Arnaud m'explique :

" Elle dormait à plat ventre, les jambes écartées. Je n'ai pas pu résister à l'envie de lui tripoter le cul. Cela l'a réveillée alors elle m'a embrassé et m'a promis que son cul m'appartiendrait si je partais avec elle car elle m'aimait, m'était complètement soumise mais ne voulait plus me partager .

J'ai donc décidé de la punir d'avoir voulu te trahir. Regarde ce qu'elle mérite ! "

Il a commencé par installer une pile d'oreillers sous le bassin puis lui a replié chaque jambe de chaque côté, de façon à l'attacher au bras correspondant. Ainsi accroupie, le cul en l'air, immobilisée, écartelée, elle était à sa disposition.

Il l'a d'abord bien lubrifiée et lui a mis son doigt brutalement avant de le faire aller et venir sans ménagement. Elle pleurait d'humiliation mais Arnaud en a rajouté en lui faisant renifler ce doigt qui sortait de son cul. Puis il lui a expliqué qu'il allait lui dilater le cul avec plusieurs objets de plus en plus gros, pour finir par sa main, en passant de toute façon par sa queue. Son petit trou a reçu des bougies fines : deux puis quatre, il s'est amusé à en prendre deux dans chaque main afin de les écarter le plus possible l'une de l'autre. Il tirait au maximum de chaque côté quand il m'a demandé de l'aide : j'ai du lui mettre un petit godemiché, avant qu'il retire les bougies. Il est allé chercher de la pâte de piment pour tartiner l'entrée du petit trou. Celui ci s'est contracté immédiatement sur le gode ce qui lui a arraché un cri.

 

 

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Arnaud et moi nous sommes installés sous son nez et avons pris notre pied pendant qu'elle souffrait.

à suivre.....

 

Par eve - Publié dans : Eve: Mon roman pornographique
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Jeudi 14 juin 4 14 /06 /Juin 00:25

La séance de dilatation a recommencé : après la courgette, l'aubergine, la petite bouteille de bière, il lui a montré l'énorme vibromasseur noir, l'a lubrifiée de nouveau, et m'a fait signe.

 

 

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J'ai écarté ses fesses, le vibro. s'est enfoncé sans difficulté. Il m'a demandé de le sucer alors qu'il actionnait l'objet dans le cul qui n'en pouvait plus. Il l'a a retiré, l'a saisie par les hanches, m'a demandé de la caresser.

 

 

 

 

 

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Il s'est alors enfoncé doucement en elle, très attentionné. Dès qu'elle a exprimé le plaisir procuré par mes doigts, il a enfoncé son pieu au plus profond, l'a retiré lentement et a recommencé le même mouvement jusqu'à être prêt à jouir, ce qu'il a fait sur son visage.

 

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Arnaud s'est ensuite emparé du vibro pour le lui remettre dans le cul. Je l'ai amenée jusqu'à

l'orgasme puis l'ai débaillonnée pour l'obliger à me lécher pendant que son cul était maltraité. Le vibro est resté en elle alors que nous nous reposions.

Elle regarde Arnaud d'un air effrayé :

" Non ! Pas çà, s'il vous plaît ! "

Arnaud lubrifie sa main devant elle pendant que j'en fait autant dans son cul. Il s'installe. Je l'ai obligée à fumer pour la rendre plus " molle ". J'ai coincé entre les coussins et sa chatte le vibro en marche. Je vérifie que ses liens sont bien serrés, puis je lui écarte les fesses de toutes mes forces. J'ai oublié le bâillon. Tant pis, personne ne peut l'entendre.

 

 

 

 

La main large d'Arnaud s'active déjà : Quatre doigts s'enfoncent, une fois dedans, ils tournent, se retirent, recommencent pour ramollir tout çà. Le vibro aidant, elle gémit de plaisir. Le dernier doigt, et la main pousse pour s'enfoncer sans pitié malgré les plaintes d'Eva. J'aide Arnaud en passant un doigt entre sa main et l'anus écartelé: la peau n'est plus lubrifiée et freine l'avancée. Mon doigt tourne autour de la main au fur et à mesure et dégage le passage.

à suivre............ 

Par eve - Publié dans : Eve: Mon roman pornographique
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Dimanche 17 juin 7 17 /06 /Juin 23:04

Nous arrivons à l'endroit le plus large de la main. Eva, sur le point de jouir grâce au vibro, est brutalement refroidie par la douleur. Ce qui ne freine pas l'ardeur d'Arnaud.

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Il me montre en mimant de son autre main qu'il commence à replier ses doigts à l'intérieur. Elle se met à murmurer :

" Ça fait trop mal, vous allez me déchirer, arrêtez ! "

Il y est presque, sa main est énorme, on dirait que les fesses vont se séparer.

 

 

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Il pousse sans répit, elle crie et ne s'arrête pas tant qu'il force. Son cul est tellement dilaté, il va se déchirer, je lui dis d'arrêter, il me regarde et n'a qu'une poussée à donner pour que la main puis le poignet soient engloutis par le cul d'Eva qui continue à crier la souffrance qu'il lui fait endurer encore en activant sa main dans l'anus encore vierge quelques heures plus tôt. Il pousse, il tire, il la secoue, il semble vouloir arracher brutalement sa main de là. Je saisis son poignet et lui demande de se calmer car je vais rendre les choses plus agréables pour eux deux. Il se pousse un peu, j'approche ma bouche de la chatte et plonge ma langue qui connaît la méthode pour amener irrésistiblement Eva à l'orgasme. Arnaud ne bouge plus, il attend le moment propice pour reprendre le mouvement. Elle s'est détendue, elle sait que c'est la seule façon de moins souffrir.

 

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Le plaisir gagne son corps endolori, son bassin se met à onduler pour appuyer sa chatte sur ma langue et, dans le même temps, s'empale sur la main qui ne se fait pas prier et reprend son va et vient sadique. Elle dégouline sur mon visage, elle hurle de douleur et de plaisir mêlés. Sa chatte est rouge, gonflée, ma main viole son vagin quand je saisis son clitoris entre mes lèvres pour l'aspirer et le mordiller jusqu'à l'extase. Elle jouit longuement en s'empalant sur nos mains. Arnaud n'attends pas longtemps pour retirer la sienne, ce qui se fait sans forcer, le cul est complètement détendu et reste béant quand la main n'y est plus. Je coupe ses liens, elle prend la queue d'Arnaud et se la fout dans le cul mais il se retire,

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m'attire à lui et défonce le mien qui est beaucoup plus serré.

 

 

Eva, délaissée, s'empare d'une bouteille de champagne abandonnée prés du lit, la pose sur le sol, s'accroupit et s'empale dessus en se masturbant. Quand elle jouit pour la deuxième fois, on ne voit plus la bouteille, elle est assise dessus, les pieds légèrement levés, tout son poids sur l'objet.

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Nous jouissons en savourant le spectacle de la toute nouvelle dépucelée se défonçant le cul toute seule avec une bouteille parce qu'il est trop ouvert pour être défoncé par une queue.

 à suivre.......

 

Par eve - Publié dans : Eve: Mon roman pornographique
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