Eve: Mon roman pornographique

Jeudi 21 juin 4 21 /06 /Juin 11:23

 

Avant de s'endormir, elle a reconnu mériter encore des punitions pour ce qu'elle m'avait fait. En fait, elle aimait mêler le plaisir, la douleur et l'humiliation. Elle en redemandait.

 

Le lendemain :

La journée d'Eva commence par une séance d'humiliation. Nous sommes réveillés depuis un moment et lui avons préparé une série de punitions.

Elle est donc conduite, à peine éveillée, à la salle de bains. Elle est mise à quatre pattes, sans ménagement, le cul bien en l'air. J'introduis, avec difficulté, le pommeau du tuyau de douche dans son cul, règle la température à 38°, et ouvre le robinet doucement. Comme cela, elle sent bien l'eau assez chaude remplir son ventre jusqu'à saturation. Elle grimace, supplie Arnaud de m'arrêter. En réponse, il lui fout sa queue dans la bouche, et ne bouge pas. Je ferme le robinet quand l'eau commence à ressortir, et bouche son trou avec un godemiché court qui, par sa forme, ne risque pas de glisser hors du cul : il s'élargit rapidement avant de se rétrécir brutalement. Ce sera un bouchon parfait. Je lui met un tee-shirt et l'envoie prendre son petit déjeuner. Elle grimace en s'asseyant, devient toute rouge, nous ne la quittons pas des yeux. Elle est gênée pour se mettre debout, le vêtement court ne cache pas le gode et nous la regardons toujours. Au bout d'une demi heure, elle implore :

" Laissez moi aller aux toilettes, je vais tout lâcher, c'est trop pénible ! "

Elle a gardé le liquide pendant deux heures. Puis, attachée sur une chaise trouée pour un seau hygiénique, installée dans le jardin pour l'occasion, elle reçut l'ordre de tout lâcher. Installés à plat ventre face à elle, nous étions aux premières loges. Le gros cul ne dépassait pas mais était écartelé, Arnaud s'est approché, lui a demandé de se retenir, et a lentement retiré le gode. Elle a laissé échapper un petit jet d'eau salie sur la main d'Arnaud qui l'a giflée avant de lui faire nettoyer ses saletés à coups de langue. Sa main de nouveau propre, il est revenu s'allonger.

" Lâche tout, vas y, cochonne ! "

 

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Ses intestins, pleins depuis la veille, ont tout lâché. L'humiliation était au maximum. Elle pleurait en se soulageant devant nous. Son cul, ouvert par le gode, projetait l'eau chargée sur ses jambes, sur sa chatte. L'odeur a attiré les mouches, fréquentes en cette saison. La chatte et le cul étaient visités par une dizaine de mouches, affolées par une telle saleté. Honteuse, dégoûtée, elle se mit à nous insulter. Arnaud lui a coincé une pomme, tombée parce que pourrie, dans la bouche pour la faire taire. Il est rentré à la maison. Il est revenu avec un sac dont il a sorti divers objets. Il l'a d'abord frappée avec une laisse en cuir tressé. Il a sorti un collier à chien du sac, le lui a passé autour du cou ; la laisse, attachée à celui ci, fut nouée à l'un des pieds de la chaise. Sa tête tendue vers l'arrière, elle ne pouvait voir ce qui allait se passer. Il a retiré la pomme pour pouvoir l'entendre.

 

Les sévices ont commencé. Avec un système de pinces à linge et de ficelles, il a relié le bout des seins et les grandes lèvres qui se sont complètement écartées.

 

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Il s'est éloigné pour regarder. Les mouches sont revenues à l'attaque. Elle a voulu bouger son bassin pour les éloigner, cela lui a arraché un cri de douleur : le mouvement a tiré brutalement sur les tétons déjà torturés par les pinces. Arnaud s'est rapproché, ses doigts ont étiré le clitoris, l'ont tripoté un instant pour amorcer le plaisir puis il a observé : émoustillée, Eva semblait apprécier le contact des mouches. Elles étaient nombreuses et s'activaient frénétiquement sur la chatte et sur l'anus souillé. Certaines avançaient de plus en plus dans le vagin. Haletante, elle leur parlait :

" baisez moi, oui comme ça ! Entrez dans mon trou ! Oh ! C'est bon ! Non, elles piquent ! Enlevez les ! Oh oui,  c'est bon ! Je suis une salope ! j'aime me faire baiser par les mouches ! Arnaud ta queue mon amour ! Baise moi ! "

Il s'est approché de nouveau, le sac de pinces à linge à la main. Alors que les mouches se délectaient, il a recommencé ses sévices : l'intérieur des bras fut parsemé de pinces, puis l'intérieur des cuisses. Il fit le tour de l'aréole de la même façon, puis le tour de l'anus. Elle souffrait et le criait. Elle criait aussi le plaisir procuré par les mouches et son désir de se faire baiser par son bourreau. Il n'a pas répondu tout de suite à son désir. Elle y a cru pourtant quand il a commencé à la peloter. Elle n'a pas vu la laisse s'abattre sur ses seins et ses bras. Il s'est ensuite mis en tête de tirer sur les pinces, l'une après l'autre puis plusieurs en même temps. Il lui a mis sa queue dans la bouche, s'est activé dedans brutalement en tirant les pinces accessibles. Les mouches se régalaient, le désir et les caresses d'Arnaud avaient mouillé sa chatte. La queue étouffait les cris, les larmes coulaient. Arnaud s'éloigne pour se régaler du spectacle.

" Tu es une grosse dégueulasse ! Tu te fais bouffer par des mouches et t'aime çà ! "

Il a basculé la chaise sur le sol, Eva attachée se retrouvait donc en chien de fusil. Allongé derrière la chaise, il ne voyait d'Eva que son cul martyrisé par les pinces. Il les a saisies, une main pour chaque fesse, et l'a enculée.

 

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Plus elle criait de douleur, plus il tirait sur les pinces. Il l'a limée ainsi jusqu'à ce que le plaisir la gagne enfin. Là, il a lâché les pinces, a planté ses ongles jusqu'au sang dans ses fesses, s'est bien accroché et l'a défoncée avant d'éjaculer dans sa bouche, ouverte pour hurler sa douleur et son

plaisir.

Nous l'avons détachée avant de rentrer. Elle est restée couchée, je me suis fait un plaisir de retirer les pinces doucement, une à une. Elle n'avait plus la force de crier, seul un soubresaut à chaque pince enlevée exprimait sa douleur.

Elle a mis longtemps avant de rentrer, honteuse d'avoir aimé les sévices endurés.

Nous lui avons ordonné de se laver, de s'épiler, de se faire toute douce pour la surprise que nous lui réservions.

 à suivre.......

Par eve - Publié dans : Eve: Mon roman pornographique
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Mercredi 27 juin 3 27 /06 /Juin 22:52
 
 
 
Une fois prête, je lui ai offert un copieux petit déjeuner, composé de ce qu'elle préférait. Chaque fois qu'Arnaud passait près d'elle, il la caressait discrètement et je savais qu'il l'embrassait tendrement quand je m'éloignais un peu. Elle le dévorait des yeux, pensait certainement que la punition était terminée et qu'il répondait à son amour.
Dans la soirée, je lui ai donné des vêtements qui plairaient à Arnaud : un tee-shirt très échancré qui masquait à peine les mamelons ; un de mes caleçons dont le tissu, tendu par son gros cul, en était transparent ; une large ceinture serrée au maximum et enfin, une paire d'escarpins à talons très hauts, un collier de chien autour du cou. L'ensemble était noir. Tout cela lui donnait l'allure d'une salope en chaleur aguichant le mâle. Je lui ai maquillé la bouche en exagérant les contours. Quand elle s'est regardée ainsi vêtue et maquillée, elle s'est trouvé un cul énorme et une allure de pute. Elle a toutefois accepté de rester ainsi, afin de plaire à Arnaud puisque c'était entre nous…
 
Quelques jours plus tôt, Arnaud avait rencontré des ouvriers sur un chantier tout près. Ils avaient discuté entre hommes et ils lui avaient demandé en riant de leur présenter des femmes esseulées avant qu'ils explosent ! En déplacement depuis un mois, ils se sentaient bien seuls.
Arnaud les avait invités à souper ce soir là. Je trouvais l'idée fort excitante : Eva n'avait confiance qu'en lui et pensait qu'il partageait ses sentiments. Elle attendait la fin de la soirée avec impatience, persuadée de la passer dans les bras d'Arnaud. A plusieurs reprises, alors que nous préparions le repas qu'elle trouvait copieux pour nous trois, Arnaud l'a embrassée et pelotée. Il lui murmurait qu'elle l'excitait en frottant son membre en érection contre elle. Il bandait déjà à l'idée de ce qui allait se passer. Elle me toisait d'un air triomphant, inconsciente de ce qui l'attendait. Elle a commencé à s'inquiéter quand nous avons mis la table. A mon tour de la toiser :
" C'est la surprise qu'Arnaud te réserve ! "
Les ouvriers sont arrivés en tenue de travail, un problème d'eau au baraquement. Ils ont demandé à se doucher chez nous. Je leur ai proposé une boisson avant. Je voulais qu'ils découvrent Eva. Je l'ai appelée pour qu'elle nous serve. Elle était mal à l'aise, n'osait pas tourner le dos aux ouvriers, n'osait pas pencher. Ils ne disaient rien, la dévoraient des yeux. Ils étaient quatre : un jeune garçon un peu simple pas très beau ; un homme bedonnant d'âge mûr ; un autre bien conservé mais avec un penchant évident pour l'alcool ; le dernier était un superbe africain à la peau luisante de soleil, le maillot tendu sur ses muscles, un cul…serré dans un jean, et un parfum…Rien que pour lui, j'aurais bien pris la place d'Eva. Je les ai ensuite conduits à la salle de bain. En repartant, je n'ai pu m'empêcher de frôler Didier, l'africain, que j'imaginais déjà nu sous la douche.
Quand je rejoignis Arnaud et Eva, elle lui demandait inquiète de quoi il s'agissait. Il lui a simplement parlé d'une petite humiliation consistant à la faire se promener dans une tenue provocante devant des inconnus, cela le faisait bander. Prête à tout pour lui plaire, elle se prêta au jeu et changea de comportement dés le retour des ouvriers. Elle les frôlait en les servant, se penchait le plus possible pour faire sortir ses seins du tee-shirt, ondulait de la croupe quand elle leur tournait le dos. Ils n'osaient pas la toucher, ils en oubliaient de manger. J'envoyais Eva chercher du vin à la cave ; pendant ce temps, Arnaud leur a expliqué qu'ils pourraient la baiser après le repas. C'était une copine en chaleur, elle n'attendait que çà. Et qu'ils ne s'inquiètent pas si elle se débattait ou criait, elle aimait imaginer être violée.
Ils n'en revenaient pas et nous regardaient incrédules. Je sentais le désir les envahir. Eva n'étant plus là, je me levais pour servir. Ils remarquèrent enfin ma tenue : jupe de cuir, soutien gorge à balconnet laissant pointer mes tétons, sous un tee-shirt en tissu noir transparent et des bas que la jupe courte ne cachait pas vraiment. Des talons hauts cambraient ma silhouette et mettait en valeur mes formes pulpeuses. C'est là que Didier, enhardi par l'alcool, a demandé à Arnaud :
" Ta femme est bandante, tu me la prêterais ? "
" C'est elle qui décide ! "
Je me suis approchée de Didier :
" Tu peux me toucher un peu si tu veux, pas plus, garde tes forces pour la gamine en rut ! "
Il commencé à prendre mes seins, frotter son visage contre, il sentait bon. Ses mains se sont posées sur mes jambes, sont remontées jusqu'à mon cul qu'il a malaxé lentement, en fermant les yeux. Son jean était tendu entre ses jambes, j'ai posé ma main et l'ai caressé, il m'excitait. J'ai eu du mal à m'éloigner quand j'ai entendu Eva revenir. Les autres ont assisté à la scène, médusés mais n'ont pas bougé. Heureusement qu'elle est revenue, je n'aurais pas voulu de leur caresses.
Le repas s'est déroulé dans une chaude ambiance. Arnaud et moi nous régalions de voir Eva se tortiller devant eux, persuadée d'exciter son bourreau et ne rien risquer de ces trois là. Eux, au courant de la suite, sont allés plus loin : ils lui pelotaient le cul au passage, lui ont sorti les seins du tee-shirt et lui ont ordonné de nous servir comme çà. Elle se débattait un peu en regardant Arnaud. Il ne disait rien, la tripotait aussi. Le désir montait en moi. Je ne quittais pas Didier des yeux. Je n'étais pas loin de l'attirer dans ma chambre pour me faire mettre par son membre que j'imaginais puissant. Je me touchais sous la table, mon visage m'a trahie, il s'est alors penché pour voir ce qui provoquait mes mimiques. J'ai continué en ouvrant un peu plus ma chatte pour lui. Je sentais son regard sur mon intimité et cela me donnait envie de le provoquer. J'ai pris une banane discrètement sur la table et me suis caressée avec. Je la lui ai donnée à sucer puis me la suis mise dans le vagin.

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à suivre......

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Samedi 30 juin 6 30 /06 /Juin 23:51

Arnaud a appelé Didier en lui demandant ce qu'il faisait. Ce qui a interrompu notre manège. J'ai alors dégagé avec douceur le bout du fruit pour le manger. Je n'ai pas quitté Didier des yeux en léchant puis suçant la banane. J'ai soudain pris conscience du silence autour de nous. Tous les regards étaient braqués sur moi suçant une banane goulûment. Je croisais le regard d'Arnaud, malgré nos pratiques sexuelles assez libres, il avait du mal à me " prêter ". Le repas terminé, Arnaud a conduit Eva dans la chambre et lui a demandé d'attendre. Quand il les a fait entrer, elle s'est réfugiée sous les couvertures, elle a compris tout de suite.

" Non Arnaud, pas çà. Je ne les connais pas ! "

L'alcoolo. :

" Tu nous a assez excités salope. Tu croyais t'en tirer comme çà ? "

Il est déjà en tenue de " combat ". Il doit bander dans sa tête, mais pas en vrai. Elle n'a pas grand chose à craindre de celui là, l'alcool l'a ramolli. Le gamin un peu simplet, lui, se tripote comme un fou, tout juste s'il ne bave pas. Sa queue est très longue et toute fine. Il est tout rouge, a du mal à se retenir de lui sauter dessus. Le vieux bedonnant est plutôt répugnant : très poilu, il pend de partout, un vrai poussah. Seul son membre a conservé une sacrée vigueur. Pas très long mais très large, il est sacrement impressionnant. Il se caresse doucement en lubrifiant sa queue de sa salive crachée dans sa main. A Didier de libérer la sienne : longue, épaisse, époustouflante, effrayante et attirante. Je mouille, je me surprends à passer ma langue sur mes lèvres. Il s'en rend compte et se branle doucement en me regardant.

" T'as jamais baisé toi !" dit l'alcoolo au gamin excité comme une bête. " A toi l'honneur ! "

Pensant satisfaire les désirs d'Eva, le vieux et l'alcoolo ne la ménagent pas. Ils la découvrent brutalement et se jettent sur elle qui se débat. Un la tient par les bras, l'autre lui maintient les jambes écartées. Elle regarde ces sexes qui vont la fouiller, haletante. Elle voit le gamin s'agiter, se jeter sur elle comme une bête. Il lui fait mal, il force n'importe ou pour entrer. Arnaud s'approche, il le guide jusqu'à la bouche d'Eva pour qu'elle le lubrifie. Elle ne veut pas, tourne la tête, Arnaud la gifle et lui tient la tête pour que le puceau lui viole la bouche. Elle regarde Arnaud et se met à lubrifier la queue qui tape au fond de sa gorge. Puis il guide le gamin vers la chatte réticente. Il écarte les grandes lèvres et lui montre le passage. Il s'éloigne. Le gamin s'écroule sur elle, essaie de la pénétrer, elle a mal, il est de travers. Elle crie, çà excite l'alcoolo qui vient se faire mettre en condition. Il la lui met toute molle dans la bouche. Elle est dégoûtée, a des hauts le coeur, cela doit lui rappeler la bandes d'ados qu'elle a du sucer il y a deux ans.

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Le gamin a réussi à la mettre. Complètement avachi sur elle, il s'agite dans tous les sens. Elle a toujours la queue du mou dans la bouche et il la tient par les cheveux pour la faire s'activer.

 

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Elle sait que nous la regardons se faire mettre par un " animal ". Il va jouir, il est de plus en plus acharné, il aurait une poupée gonflable sous lui, il ferait la même chose. Il n'a aucune considération pour elle et la fait souffrir. Les autres la maintiennent toujours. Le gamin s'écroule, c'est fini. L'alcoolo lui attache les poignets à la tête de lit et se met entre ses jambes après avoir viré le gamin. Il la tripote, elle essaie de se débattre, suivant l'exemple d'Arnaud il la gifle. Il approche sa tête avinée de la chatte et la lèche. Elle trouve cela répugnant et le dit. Il n'apprécie pas et la pénètre aussitôt dans l'intention de lui faire mal. Pour la faire taire, le vieux lui met sa grosse queue dans la bouche.

" Suce la bien celle là, tu vas la sentir passer ! "
L'autre la lime un peu comme le gamin, il se dépêche, il a peur de débander. Pendant ce temps, Didier s'avance et masturbe sa queue sous les yeux affolés d'Eva. Le vieux se pousse pour laisser la place, Didier la lui fout dans la bouche. Elle a eu les quatre, elle se rend compte qu'elle est de loin la plus grosse. L'alcoolo finit par balancer trois gouttes de sperme et se laisse aller sur le côté pour cuver son alcool. Quel spectacle ! Un qui cuve, l'autre qui bande de nouveau et s'agite en voyant les deux autres lui enfourner leur queue à tour de rôle dans la bouche.
Le vieux la retourne, elle toujours attachée à la tête de lit. Personne ne lui tient les jambes mais elle n'a plus la force de se débattre. Il la fait mettre à quatre pattes, s'allonge sous elle et l'oblige à s'empaler sur lui. Son visage est tout prés du sien, il l'embrasse en gardant les yeux ouverts, il maintient sa bouche contre la sienne en la tenant par les cheveux. De l'autre main, il appuie sur ses reins pour qu'elle s'enfonce, son cri est étouffé par la langue de l'homme. Puis c'est lui qui crie : elle l'a mordu ! Alors il tire sa tête en arrière :
" Je veux te voir souffrir ! "
Il fait signe à Didier de venir derrière elle. Celui ci approche, elle sent le pieu appuyer sur son anus, il est bien mouillé, il n'a pas l'intention de passer des heures à entrer. L'autre la défonce tranquillement en la regardant. Didier lui écarte le cul et s'enfonce doucement.


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L'autre est fiché dans son con et ne bouge plus, il la regarde souffrir. Didier ne lui a mis que la moitié, il s'active. L'autre lui tripote la chatte. Il doit savoir y faire, elle soupire déjà de plaisir. Il recommence à bouger. Les deux hommes s'activent en elle, pas trop fort. Elle aime çà, elle bouge pour les aider. Alors ils accélèrent le rythme, cela lui plaît toujours, encore plus vite et fort cette fois. Cela devient dur pour elle, elle renâcle, leur demande d'aller plus doucement. Ils n'en font rien. Ils la tiennent fermement tous les deux. Le vieux s'accroche à elle et la lime furieusement en la regardant quand Didier, prés de jouir, la lui met toute entière, la transperce. Il ne pense plus qu'à lui, à se faire plaisir. Les cris de douleur d'Eva exacerbent sa violence, persuadé qu'il est qu'elle aime çà. Il se retire presque entièrement puis s'enfonce sans s'arrêter. Quand je vois la longueur de la queue, je me dis que c'est impossible. L'autre la tripote toujours en la défonçant. Arnaud s'allonge prés du vieux, et me fait signe de m'installer sur lui. Lui aussi comme çà, peut voir la souffrance d'Eva. Je m'empale sur Arnaud en regardant Didier. Il approche son visage du mien et me murmure :
" Je te baiserai, c'est toi que je veux ! "

à suivre........
Par eve - Publié dans : Eve: Mon roman pornographique
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Mercredi 11 juillet 3 11 /07 /Juil 23:36

Ça m'a excitée au point de m'imaginer à la place d'Eva, me faisant défoncer le cul par ce pieu. J'ai joui en le regardant, Arnaud fixait le visage d'Eva. Elle jouissait comme une folle, secouait la tête de droite à gauche comme pour dire non mais hurlait oui ! Les deux hommes ont joui en la perforant comme des bêtes, n'écoutant que ses " oui ".

Le gamin est venu en remettre un petit coup, pour se soulager, elle n'a pas du le sentir, elle était écroulée comme nous tous, incapable de réagir.

Je me suis endormie entre Didier et Arnaud.

 

Eva s'est réveillée. Debout sur le lit, elle se trémousse. Elle suce ses doigts, les met dans son vagin! Puis se retourne, écarte ses fesses, se met un doigt dans le cul. A quatre pattes, le doigt toujours fiché dans son petit trou, elle se met sous le nez du vieux et se fouille le cul. Il est répugnant, ce bonhomme: avachi sur le lit, son gros ventre étalé, il se branle en admirant ce cul de gamine en chaleur. Après lui avoir fait sucer son doigt, elle l'embrasse à pleine bouche en tripotant ses bourrelets.

"baise moi, gros dégueulasse, j'ai trop envie, je suis à toi!" elle le suce pendant qu'il lui visite le cul de ses doigts boudinés.

L'alcoolo, le gamin et Arnaud lui fouillent la chatte, lui pelotent les seins, l'embrassent. Elle se déplace, oblige le gamin à s'allonger, se met au dessus de lui, à quatre pattes et le suce en lui maintenant les jambes relevées. Le vieux encule maintenant Eva, juste au dessus du visage du gamin. la chatte d'Eva est collée sur sa bouche et se masturbe en se frottant. Pendant ce temps, elle lui enfonce un doigt dans le cul, tout doucement. Il semble apprécier!

Je mouille, je suis à plat ventre, ce spectacle m'excite, Didier s'est réveillé, il me caresse le cul, se frotte sur moi, puis je sens son poids sur moi. Je ne peux plus bouger. Il écarte mes jambes, me fouille partout de ses doigts. Il me lubrifie. Il me mordille le dos, ce qui m'arrache de petits cris. J'essaie de me libérer, je ne peux même plus bouger la tête. Arnaud m'a saisie par les cheveux, il m'a tourné la tête vers lui pour que je le suce,

"vas-y, défonce-là!"

Il s'adresse à Didier qui appuie aussitôt sa queue contre mon vagin. Il entre sans ménagement. Il va trop loin, ça fait mal, il est lourd sur moi, je suis prisonnière, à moi de subir...

Arnaud se régale, il m'oblige à le sucer pendant que je me fais violer. La situation devient excitante.

 

Soudain, le gamin crie. Le spectacle est troublant. Il est toujours couché sous Eva qui se fait enculer violemment par le vieux. Elle suce le gamin en lui écartant les fesses, pour que l'alcoolo puisse lui violer le cul. Ça glisse tout seul. L'alcoolo se déchaîne, Eva a du éprouver un plaisir pervers à lubrifier le cul du gamin. Elle est devenue bourreau. Elle amène le gamin à la jouissance. A ce moment, il écarte lui même ses fesses un peu plus et se projette frénétiquement sur la queue qui vient de le percer. Le vieux asperge le cul d'Eva de son sperme quand l'alcoolo s'écroule après avoir joui sous les coups de cul du gamin.

 

 

 

 

 

 

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Didier me lubrifie le cul; je me débats, Arnaud me bloque. A mon tour de crier. Didier ne m'épargne pas, il n'est pas loin de jouir. Je suis sure qu'Eva est satisfaite de me voir souffrir.

 

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La souffrance fait place au plaisir qui monte tout doucement. J'ai réussi à glisser une main entre mes jambes. Didier relâche son étreinte, j'accompagne ses mouvements. Il ralentit, il m'attend pour jouir.

Arnaud jouit dans ma bouche en me voyant bouger contre Didier.

 

Mon amant ne tient plus, il accélère le mouvement et la douleur se mêle au plaisir.

Bizarrement, elle accélère ma jouissance et malgré ma souffrance, je me projette contre cette queue qui me transperce.

 

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à suivre........ 

 

Par eve - Publié dans : Eve: Mon roman pornographique
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