Jeudi 7 juin 4 07 /06 /Juin 23:15

 

 

Le lendemain, 9 h.

Je réveille Eva avec un léchage de clitoris pour la mettre en condition. J'arrête cette caresse avant qu'elle ne jouisse. Arnaud dort encore, Eva me suit dans la chambre. Il est nu sur le lit, il bande en dormant. Elle regarde ce sexe qui va la dépuceler aujourd'hui. Je lui caresse la chatte alors qu'elle détaille le corps viril. Elle est excitée.

Nous le laissons dormir et allons prendre le petit déjeuner. Pendant sa douche, je lui passe un gant de crin sur tout le corps. Ensuite, je l'épile complètement. Je n'oublie pas de la caresser plusieurs fois sans aller jusqu'à l'orgasme. Outrageusement maquillée, ongles vernis, un corset trop serré et une paire de bas et la voilà provocante à souhait. Elle me demande, la voix troublée par la peur et le désir confondus :

" C'est pour maintenant ? "

Je ne lui réponds pas et la présente à Arnaud dans cette tenue. Devant lui, je la caresse et lui propose de la goûter. Pour cela, j'oblige Eva à se pencher jusqu'à tenir ses chevilles, les jambes écartées. Il est assis et le cul d'Eva est juste à la bonne hauteur. Pendant qu'il la lèche avec délectation, je vais chercher une bougie assez fine que je lubrifie dans la bouche d'Eva. Je la donne à Arnaud qui l'enfonce dans le vagin de la pucelle. Sa langue continue ses caresses et lubrifie la bougie au fur et à mesure de son va et vient. Eva se débat mais je tiens ses poignets sur ses chevilles. La langue d'Arnaud travaille bien, le plaisir gagne la jeune fille, elle ne se débat plus. Arnaud arrête le mouvement de la bougie mais la maintient fichée dans le vagin. Alors je saisis les hanches épaisses et oblige Eva à s'enfoncer un peu plus. Je n'ai pas besoin de la guider longtemps. Le plaisir monte, elle gémit et bouge le bassin de façon à profiter au mieux de ces nouvelles sensations. J'enlève la bougie des mains d'Arnaud, je veux qu'elle le supplie de la déflorer. Il se lève, il l'allonge sur la table, les fesses au bord, les jambes relevées et la caresse avec ses doigts. Elle se tortille de désir, elle le veut c'est évident ! Arnaud met sa queue à l'entrée du vagin tout neuf et ne bouge plus. Je souffle à l'oreille d'Eva :

" Supplie-le de te baiser ! "

Elle résiste, mais le plaisir monte. Elle se frotte contre le membre tendu de désir. Il ne bouge toujours pas mais ne va pas résister longtemps. Elle gémit, se tortille, le regarde l'air suppliant. Il enfonce un peu sa queue puis se retire et recommence. Il ne la quitte pas des yeux. Elle avance son bassin mais a peur d'aller plus loin. Arnaud active sa main sur le clitoris, elle ne tient plus, elle hurle presque :

" Baise moi je t'en supplie ! "

 

 

 

 

 

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Arnaud s'enfonce d'un coup, attend un court instant, et s'active dans le vagin défloré. Eva se laisse de nouveau gagner par le plaisir et semble prête à s'évanouir sous les coups de reins rapides d'Arnaud, incapable de maîtriser la violence de son orgasme. Je ne laisse pas à Eva le temps de se remettre, je m'accroupis au-dessus de son visage pour qu'elle me fasse jouir avec sa bouche. Je bande déjà tellement fort, qu'elle n'a qu'à me téter un peu le clitoris pour provoquer mon orgasme.

 

Les jours suivants, nous avons utilisé Eva à notre convenance. Elle devait se promener nue, lubrifiée en permanence afin d'être pénétrée sans difficulté. Elle nous servait, faisait le ménage et devait se laisser baiser avec soumission. Pendant plusieurs jours, Arnaud l'a utilisée comme un objet, sans marque d'affection. Il la prenait à tout moment, debout quand elle faisait la vaisselle, assise sur lui quand nous étions à table, à quatre pattes dans le potager, elle toute propre, toute douce, lui en tenue de travail, en sueur et les mains pleines de terre. Elle n'avait pas le droit de se laver dans la journée, le sperme coulait de sa chatte sur ses jambes. Le soir elle sentait fort et Arnaud se délectait de son goût d'urine et de foutre mélangés. Ensuite, il m'embrassait goulûment avant de me prendre avec beaucoup de tendresse à laquelle elle n'avait jamais droit. La nuit, nous faisions l'amour tous les trois, avec beaucoup de plaisir. Quelques semaines plus tard, elle se présentait elle même à Arnaud pour qu'il la baise. Elle devait le caresser pour le faire bander, la situation n'était plus aussi excitante qu'au début.

 

.Cela fait quelques jours qu'Eva est distante avec moi. Par contre, elle est aux petits soins pour Arnaud. La situation m'inquiète et me déplaît. Je sens que cette relation n'évolue pas comme je l'avais prévu et je ne sais que faire.

Cette nuit là, je suis réveillée par des cris étouffés et de l'agitation près de moi. J'ouvre les yeux et découvre Arnaud luttant avec Eva qui cherche à lui échapper. Il l'a bâillonnée et veut lui mettre un doigt dans le cul. Elle n'aime pas cela, nous avons essayé une fois de le déflorer elle s'est sentie tellement humiliée qu'elle en a pleuré. Nous avons renoncé à cette pratique à ce moment là.

Il lui attache les bras dans le dos, elle ne peut plus lutter. Arnaud m'explique :

" Elle dormait à plat ventre, les jambes écartées. Je n'ai pas pu résister à l'envie de lui tripoter le cul. Cela l'a réveillée alors elle m'a embrassé et m'a promis que son cul m'appartiendrait si je partais avec elle car elle m'aimait, m'était complètement soumise mais ne voulait plus me partager .

J'ai donc décidé de la punir d'avoir voulu te trahir. Regarde ce qu'elle mérite ! "

Il a commencé par installer une pile d'oreillers sous le bassin puis lui a replié chaque jambe de chaque côté, de façon à l'attacher au bras correspondant. Ainsi accroupie, le cul en l'air, immobilisée, écartelée, elle était à sa disposition.

Il l'a d'abord bien lubrifiée et lui a mis son doigt brutalement avant de le faire aller et venir sans ménagement. Elle pleurait d'humiliation mais Arnaud en a rajouté en lui faisant renifler ce doigt qui sortait de son cul. Puis il lui a expliqué qu'il allait lui dilater le cul avec plusieurs objets de plus en plus gros, pour finir par sa main, en passant de toute façon par sa queue. Son petit trou a reçu des bougies fines : deux puis quatre, il s'est amusé à en prendre deux dans chaque main afin de les écarter le plus possible l'une de l'autre. Il tirait au maximum de chaque côté quand il m'a demandé de l'aide : j'ai du lui mettre un petit godemiché, avant qu'il retire les bougies. Il est allé chercher de la pâte de piment pour tartiner l'entrée du petit trou. Celui ci s'est contracté immédiatement sur le gode ce qui lui a arraché un cri.

 

 

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Arnaud et moi nous sommes installés sous son nez et avons pris notre pied pendant qu'elle souffrait.

à suivre.....

 

Par eve - Publié dans : Eve: Mon roman pornographique
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