Lundi 25 juin 1 25 /06 /Juin 13:42
Un épisode de cette chaude journée que je n'avais pas encore... exposé...

Mon homme a voulu que je m'empale pour lui sur une bouteille...



Et comme je suis une bonne mauvaise fille...._fck
Par eve - Publié dans : Eve: Mes videos
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Mercredi 27 juin 3 27 /06 /Juin 22:52
 
 
 
Une fois prête, je lui ai offert un copieux petit déjeuner, composé de ce qu'elle préférait. Chaque fois qu'Arnaud passait près d'elle, il la caressait discrètement et je savais qu'il l'embrassait tendrement quand je m'éloignais un peu. Elle le dévorait des yeux, pensait certainement que la punition était terminée et qu'il répondait à son amour.
Dans la soirée, je lui ai donné des vêtements qui plairaient à Arnaud : un tee-shirt très échancré qui masquait à peine les mamelons ; un de mes caleçons dont le tissu, tendu par son gros cul, en était transparent ; une large ceinture serrée au maximum et enfin, une paire d'escarpins à talons très hauts, un collier de chien autour du cou. L'ensemble était noir. Tout cela lui donnait l'allure d'une salope en chaleur aguichant le mâle. Je lui ai maquillé la bouche en exagérant les contours. Quand elle s'est regardée ainsi vêtue et maquillée, elle s'est trouvé un cul énorme et une allure de pute. Elle a toutefois accepté de rester ainsi, afin de plaire à Arnaud puisque c'était entre nous…
 
Quelques jours plus tôt, Arnaud avait rencontré des ouvriers sur un chantier tout près. Ils avaient discuté entre hommes et ils lui avaient demandé en riant de leur présenter des femmes esseulées avant qu'ils explosent ! En déplacement depuis un mois, ils se sentaient bien seuls.
Arnaud les avait invités à souper ce soir là. Je trouvais l'idée fort excitante : Eva n'avait confiance qu'en lui et pensait qu'il partageait ses sentiments. Elle attendait la fin de la soirée avec impatience, persuadée de la passer dans les bras d'Arnaud. A plusieurs reprises, alors que nous préparions le repas qu'elle trouvait copieux pour nous trois, Arnaud l'a embrassée et pelotée. Il lui murmurait qu'elle l'excitait en frottant son membre en érection contre elle. Il bandait déjà à l'idée de ce qui allait se passer. Elle me toisait d'un air triomphant, inconsciente de ce qui l'attendait. Elle a commencé à s'inquiéter quand nous avons mis la table. A mon tour de la toiser :
" C'est la surprise qu'Arnaud te réserve ! "
Les ouvriers sont arrivés en tenue de travail, un problème d'eau au baraquement. Ils ont demandé à se doucher chez nous. Je leur ai proposé une boisson avant. Je voulais qu'ils découvrent Eva. Je l'ai appelée pour qu'elle nous serve. Elle était mal à l'aise, n'osait pas tourner le dos aux ouvriers, n'osait pas pencher. Ils ne disaient rien, la dévoraient des yeux. Ils étaient quatre : un jeune garçon un peu simple pas très beau ; un homme bedonnant d'âge mûr ; un autre bien conservé mais avec un penchant évident pour l'alcool ; le dernier était un superbe africain à la peau luisante de soleil, le maillot tendu sur ses muscles, un cul…serré dans un jean, et un parfum…Rien que pour lui, j'aurais bien pris la place d'Eva. Je les ai ensuite conduits à la salle de bain. En repartant, je n'ai pu m'empêcher de frôler Didier, l'africain, que j'imaginais déjà nu sous la douche.
Quand je rejoignis Arnaud et Eva, elle lui demandait inquiète de quoi il s'agissait. Il lui a simplement parlé d'une petite humiliation consistant à la faire se promener dans une tenue provocante devant des inconnus, cela le faisait bander. Prête à tout pour lui plaire, elle se prêta au jeu et changea de comportement dés le retour des ouvriers. Elle les frôlait en les servant, se penchait le plus possible pour faire sortir ses seins du tee-shirt, ondulait de la croupe quand elle leur tournait le dos. Ils n'osaient pas la toucher, ils en oubliaient de manger. J'envoyais Eva chercher du vin à la cave ; pendant ce temps, Arnaud leur a expliqué qu'ils pourraient la baiser après le repas. C'était une copine en chaleur, elle n'attendait que çà. Et qu'ils ne s'inquiètent pas si elle se débattait ou criait, elle aimait imaginer être violée.
Ils n'en revenaient pas et nous regardaient incrédules. Je sentais le désir les envahir. Eva n'étant plus là, je me levais pour servir. Ils remarquèrent enfin ma tenue : jupe de cuir, soutien gorge à balconnet laissant pointer mes tétons, sous un tee-shirt en tissu noir transparent et des bas que la jupe courte ne cachait pas vraiment. Des talons hauts cambraient ma silhouette et mettait en valeur mes formes pulpeuses. C'est là que Didier, enhardi par l'alcool, a demandé à Arnaud :
" Ta femme est bandante, tu me la prêterais ? "
" C'est elle qui décide ! "
Je me suis approchée de Didier :
" Tu peux me toucher un peu si tu veux, pas plus, garde tes forces pour la gamine en rut ! "
Il commencé à prendre mes seins, frotter son visage contre, il sentait bon. Ses mains se sont posées sur mes jambes, sont remontées jusqu'à mon cul qu'il a malaxé lentement, en fermant les yeux. Son jean était tendu entre ses jambes, j'ai posé ma main et l'ai caressé, il m'excitait. J'ai eu du mal à m'éloigner quand j'ai entendu Eva revenir. Les autres ont assisté à la scène, médusés mais n'ont pas bougé. Heureusement qu'elle est revenue, je n'aurais pas voulu de leur caresses.
Le repas s'est déroulé dans une chaude ambiance. Arnaud et moi nous régalions de voir Eva se tortiller devant eux, persuadée d'exciter son bourreau et ne rien risquer de ces trois là. Eux, au courant de la suite, sont allés plus loin : ils lui pelotaient le cul au passage, lui ont sorti les seins du tee-shirt et lui ont ordonné de nous servir comme çà. Elle se débattait un peu en regardant Arnaud. Il ne disait rien, la tripotait aussi. Le désir montait en moi. Je ne quittais pas Didier des yeux. Je n'étais pas loin de l'attirer dans ma chambre pour me faire mettre par son membre que j'imaginais puissant. Je me touchais sous la table, mon visage m'a trahie, il s'est alors penché pour voir ce qui provoquait mes mimiques. J'ai continué en ouvrant un peu plus ma chatte pour lui. Je sentais son regard sur mon intimité et cela me donnait envie de le provoquer. J'ai pris une banane discrètement sur la table et me suis caressée avec. Je la lui ai donnée à sucer puis me la suis mise dans le vagin.

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à suivre......

Par eve - Publié dans : Eve: Mon roman pornographique
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Samedi 30 juin 6 30 /06 /Juin 16:01
Hier, je me suis fait ce petit plaisir...  enfin , pas que pour moi...  trois yeux  qui n'étaient pas les miens  en ont profité:  les  beaux yeux de mon homme, et l'oeil  cyclopéen de notre petit caméscope....

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Par eve - Publié dans : Eve: Mes videos
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Samedi 30 juin 6 30 /06 /Juin 23:51

Arnaud a appelé Didier en lui demandant ce qu'il faisait. Ce qui a interrompu notre manège. J'ai alors dégagé avec douceur le bout du fruit pour le manger. Je n'ai pas quitté Didier des yeux en léchant puis suçant la banane. J'ai soudain pris conscience du silence autour de nous. Tous les regards étaient braqués sur moi suçant une banane goulûment. Je croisais le regard d'Arnaud, malgré nos pratiques sexuelles assez libres, il avait du mal à me " prêter ". Le repas terminé, Arnaud a conduit Eva dans la chambre et lui a demandé d'attendre. Quand il les a fait entrer, elle s'est réfugiée sous les couvertures, elle a compris tout de suite.

" Non Arnaud, pas çà. Je ne les connais pas ! "

L'alcoolo. :

" Tu nous a assez excités salope. Tu croyais t'en tirer comme çà ? "

Il est déjà en tenue de " combat ". Il doit bander dans sa tête, mais pas en vrai. Elle n'a pas grand chose à craindre de celui là, l'alcool l'a ramolli. Le gamin un peu simplet, lui, se tripote comme un fou, tout juste s'il ne bave pas. Sa queue est très longue et toute fine. Il est tout rouge, a du mal à se retenir de lui sauter dessus. Le vieux bedonnant est plutôt répugnant : très poilu, il pend de partout, un vrai poussah. Seul son membre a conservé une sacrée vigueur. Pas très long mais très large, il est sacrement impressionnant. Il se caresse doucement en lubrifiant sa queue de sa salive crachée dans sa main. A Didier de libérer la sienne : longue, épaisse, époustouflante, effrayante et attirante. Je mouille, je me surprends à passer ma langue sur mes lèvres. Il s'en rend compte et se branle doucement en me regardant.

" T'as jamais baisé toi !" dit l'alcoolo au gamin excité comme une bête. " A toi l'honneur ! "

Pensant satisfaire les désirs d'Eva, le vieux et l'alcoolo ne la ménagent pas. Ils la découvrent brutalement et se jettent sur elle qui se débat. Un la tient par les bras, l'autre lui maintient les jambes écartées. Elle regarde ces sexes qui vont la fouiller, haletante. Elle voit le gamin s'agiter, se jeter sur elle comme une bête. Il lui fait mal, il force n'importe ou pour entrer. Arnaud s'approche, il le guide jusqu'à la bouche d'Eva pour qu'elle le lubrifie. Elle ne veut pas, tourne la tête, Arnaud la gifle et lui tient la tête pour que le puceau lui viole la bouche. Elle regarde Arnaud et se met à lubrifier la queue qui tape au fond de sa gorge. Puis il guide le gamin vers la chatte réticente. Il écarte les grandes lèvres et lui montre le passage. Il s'éloigne. Le gamin s'écroule sur elle, essaie de la pénétrer, elle a mal, il est de travers. Elle crie, çà excite l'alcoolo qui vient se faire mettre en condition. Il la lui met toute molle dans la bouche. Elle est dégoûtée, a des hauts le coeur, cela doit lui rappeler la bandes d'ados qu'elle a du sucer il y a deux ans.

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Le gamin a réussi à la mettre. Complètement avachi sur elle, il s'agite dans tous les sens. Elle a toujours la queue du mou dans la bouche et il la tient par les cheveux pour la faire s'activer.

 

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Elle sait que nous la regardons se faire mettre par un " animal ". Il va jouir, il est de plus en plus acharné, il aurait une poupée gonflable sous lui, il ferait la même chose. Il n'a aucune considération pour elle et la fait souffrir. Les autres la maintiennent toujours. Le gamin s'écroule, c'est fini. L'alcoolo lui attache les poignets à la tête de lit et se met entre ses jambes après avoir viré le gamin. Il la tripote, elle essaie de se débattre, suivant l'exemple d'Arnaud il la gifle. Il approche sa tête avinée de la chatte et la lèche. Elle trouve cela répugnant et le dit. Il n'apprécie pas et la pénètre aussitôt dans l'intention de lui faire mal. Pour la faire taire, le vieux lui met sa grosse queue dans la bouche.

" Suce la bien celle là, tu vas la sentir passer ! "
L'autre la lime un peu comme le gamin, il se dépêche, il a peur de débander. Pendant ce temps, Didier s'avance et masturbe sa queue sous les yeux affolés d'Eva. Le vieux se pousse pour laisser la place, Didier la lui fout dans la bouche. Elle a eu les quatre, elle se rend compte qu'elle est de loin la plus grosse. L'alcoolo finit par balancer trois gouttes de sperme et se laisse aller sur le côté pour cuver son alcool. Quel spectacle ! Un qui cuve, l'autre qui bande de nouveau et s'agite en voyant les deux autres lui enfourner leur queue à tour de rôle dans la bouche.
Le vieux la retourne, elle toujours attachée à la tête de lit. Personne ne lui tient les jambes mais elle n'a plus la force de se débattre. Il la fait mettre à quatre pattes, s'allonge sous elle et l'oblige à s'empaler sur lui. Son visage est tout prés du sien, il l'embrasse en gardant les yeux ouverts, il maintient sa bouche contre la sienne en la tenant par les cheveux. De l'autre main, il appuie sur ses reins pour qu'elle s'enfonce, son cri est étouffé par la langue de l'homme. Puis c'est lui qui crie : elle l'a mordu ! Alors il tire sa tête en arrière :
" Je veux te voir souffrir ! "
Il fait signe à Didier de venir derrière elle. Celui ci approche, elle sent le pieu appuyer sur son anus, il est bien mouillé, il n'a pas l'intention de passer des heures à entrer. L'autre la défonce tranquillement en la regardant. Didier lui écarte le cul et s'enfonce doucement.


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L'autre est fiché dans son con et ne bouge plus, il la regarde souffrir. Didier ne lui a mis que la moitié, il s'active. L'autre lui tripote la chatte. Il doit savoir y faire, elle soupire déjà de plaisir. Il recommence à bouger. Les deux hommes s'activent en elle, pas trop fort. Elle aime çà, elle bouge pour les aider. Alors ils accélèrent le rythme, cela lui plaît toujours, encore plus vite et fort cette fois. Cela devient dur pour elle, elle renâcle, leur demande d'aller plus doucement. Ils n'en font rien. Ils la tiennent fermement tous les deux. Le vieux s'accroche à elle et la lime furieusement en la regardant quand Didier, prés de jouir, la lui met toute entière, la transperce. Il ne pense plus qu'à lui, à se faire plaisir. Les cris de douleur d'Eva exacerbent sa violence, persuadé qu'il est qu'elle aime çà. Il se retire presque entièrement puis s'enfonce sans s'arrêter. Quand je vois la longueur de la queue, je me dis que c'est impossible. L'autre la tripote toujours en la défonçant. Arnaud s'allonge prés du vieux, et me fait signe de m'installer sur lui. Lui aussi comme çà, peut voir la souffrance d'Eva. Je m'empale sur Arnaud en regardant Didier. Il approche son visage du mien et me murmure :
" Je te baiserai, c'est toi que je veux ! "

à suivre........
Par eve - Publié dans : Eve: Mon roman pornographique
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